Une légende raconte qu’un village, au pied des montagnes et enfouit dans les profondeurs des bois, s’évapora subitement à la veille de la fête du village, ne laissant derrière lui que brouillard et ténèbres. On dit aussi que toute personne se perdant dans ces bois, disparait, devenant résidant du village où les papillons écarlates dansent et chantent, où les cris et les rires s’étouffent entre eux, où l’obscurité et l’insécurité dominent.
Mio Amakura et sa sœur jumelle Mayu sont en visite dans leur maison d’enfance. Sur la route, entraînée par un papillon pourpre, la jeune Mayu s’enfonçe dans la forêt. Rapidement les deux jeunes demoiselles se retrouvent prisonnières d’un sentier recouvert d’un épais nuage. Guidées par une mystérieuse lumière, elles découvrent enfin le village disparu où lors d’un festival, tous les habitants furent massacrés. Seule une femme survécut et depuis cette nuit, le village revit perpétuellement l’événement qui le raya définitivement de la carte.
Mio Amakura et sa sœur jumelle Mayu sont en visite dans leur maison d’enfance. Sur la route, entraînée par un papillon pourpre, la jeune Mayu s’enfonçe dans la forêt. Rapidement les deux jeunes demoiselles se retrouvent prisonnières d’un sentier recouvert d’un épais nuage. Guidées par une mystérieuse lumière, elles découvrent enfin le village disparu où lors d’un festival, tous les habitants furent massacrés. Seule une femme survécut et depuis cette nuit, le village revit perpétuellement l’événement qui le raya définitivement de la carte.
Mio Amakura : Cette jeune fille est l’aînée de la famille. Douce mais également très indépendante, elle se sent en partie responsable de Mayu depuis l’incident qui blessa sa sœur à la jambe. Mio n’hésite pas à mettre sa vie en danger pour protéger sa petite sœur qu’elle affectionne plus que tout.
Mayu Amakura : Cette jeune fille est la plus jeune de la famille. De nature fragile, elle est la première à être affectée par les âmes en peine des villageois du village d’origine des deux jumelles sépulcrates. Et d’ailleurs, nombreux sont ceux qui exploitent cette faiblesse afin d’en tirer profit. Etant la plus faible, c’est elle qui se rapproche le plus de Yae, bien qu'elle soit comparé à Sae.
Scénario et personnages
Tout comme son prédécesseur, Project Zero II : Crimson Butterfly se veut aussi morbide et mystérieux. Un scénario muni de personnages qui, malgré leur importance, reste également très attachant. Nous n’avons aucun mal à nous imprégner de la peine et de la rancœur que peut bien éprouver Sae sans pour autant l’accepter. Dans ce volet, il est encore question de sacrifices de jeunes filles pures, de tortures et de morts affreuses. Des jumelles aux destins étroitement liés, peut-être même trop. C’est un peu regrettable mais si nous mettons ce détail de côté, cela ne gêne en rien le scénario puisque justement l’une comme l’autre reflète un des côté dominant du caractère des jumelles de jadis.
Si vous n’aviez pas fait le premier rassurez-vous, ce volet est totalement indépendant. Rien ne mène à Miku ou Mafuyu. Il y a peut-être une petite allusion au folkloriste Takahime du premier et encore, j’ai un énorme doute. Le seul point commun est donc l’appareil photo dont on se demande d’ailleurs comme celui-ci a bien pu voyager.
Game-Play
Pour ceux qui l’ignoraient, le mode de combat est totalement différent d’un Resident Evil ou d’un Silent Hill. Finit les gros fusils, bonjour les clichés. En effet, dans Project Zero, votre héroïne ne se voit munie que d’une arme, mais pas n’import laquelle. Un appareil photo, du nom de Caméra Obscura qui est capable de percevoir l’occulte. Il permet non seulement d’apaiser les âmes en peine, de capturer les esprits à coup de cliché mais surtout de passer en vue à la première personne. Une vue qui permet de voir bien des choses qui ne sont percevable par aucun autre moyen. La maniabilité restant simple, on constate tout de même quelque correction point de vue déplacement. Mio ne calle plus autant sur des portes comme le premier. Mais on note toujours que les déplacements de cette dernière, même lorsqu’elle trottine, sont vraiment lents d’autant plus qu’elle relâche facilement le rythme. A moins que ce soit ma manette qui se fasse vieille :x Par contre, il a y a une chose qui n'a toujours pas changer, et qui est assez bien agaçant, c'est la lenteur dont font preuve les personnages à ouvrir les portes. C'est toujours mieux qu'un "Loading" mais ça reste relativement agaçant, puisque dans ce milieu, ça reste un peu flippant.
Quant aux combats, puisque je n’ai rien précisé à son sujet, ils se passent exactement comme le premier. Une fois en présence d’un spectre, il suffit de sortir l’arme avec l’aide du bouton rond et de cibler l’ennemi, les dégâts de la prise dépendant du cadrage. Les seules nouveautés sont les pouvoirs en plus que l’ont peut ajouter à l’appareil.
Musique
Le deux vaut le premier de par sa bande son irréprochable. Elle se marie parfaitement avec les bruitages du jeu, les cris de désespoir ou d’agonie des esprits ou encore les rires perçant de Sae. Le compositeur a su nous plonger dans cette ambiance morbide qu’est Project Zero, sans que l’on n'en éprouve une quelconque difficulté. Une merveille ! Sans oublié la chanson final chantée par Tsukiko Amano, tout simplement magnifique !
Graphismes
Il n’y a pas des masses de changement à noter. C’est exactement le même moteur. On peut juste remarquer une petite évolution lors des cinématiques. Ca fait beaucoup moins vieux film, c'est plus net mais c'est bien tout. Enfin, les graphismes du un étaient déjà très bien comme ça alors que lui reprocher ? De nombreuses cinématiques superbes, et de nombreuses images de synthèse de qualité. Un petit reproche ? Le peu de diversité d’ennemi. En l’espace de deux heures, vous avez de nombreuse chance de croiser dix fois minimum un prêtre impatient. De plus les fantômes ne sont pas des plus beaux, enfin en même temps on ne demandait pas vraiment à ce qu’il soit séduisant mais un rien plus effrayant au moins.
Tout comme son prédécesseur, Project Zero II : Crimson Butterfly se veut aussi morbide et mystérieux. Un scénario muni de personnages qui, malgré leur importance, reste également très attachant. Nous n’avons aucun mal à nous imprégner de la peine et de la rancœur que peut bien éprouver Sae sans pour autant l’accepter. Dans ce volet, il est encore question de sacrifices de jeunes filles pures, de tortures et de morts affreuses. Des jumelles aux destins étroitement liés, peut-être même trop. C’est un peu regrettable mais si nous mettons ce détail de côté, cela ne gêne en rien le scénario puisque justement l’une comme l’autre reflète un des côté dominant du caractère des jumelles de jadis.
Si vous n’aviez pas fait le premier rassurez-vous, ce volet est totalement indépendant. Rien ne mène à Miku ou Mafuyu. Il y a peut-être une petite allusion au folkloriste Takahime du premier et encore, j’ai un énorme doute. Le seul point commun est donc l’appareil photo dont on se demande d’ailleurs comme celui-ci a bien pu voyager.
Game-Play
Pour ceux qui l’ignoraient, le mode de combat est totalement différent d’un Resident Evil ou d’un Silent Hill. Finit les gros fusils, bonjour les clichés. En effet, dans Project Zero, votre héroïne ne se voit munie que d’une arme, mais pas n’import laquelle. Un appareil photo, du nom de Caméra Obscura qui est capable de percevoir l’occulte. Il permet non seulement d’apaiser les âmes en peine, de capturer les esprits à coup de cliché mais surtout de passer en vue à la première personne. Une vue qui permet de voir bien des choses qui ne sont percevable par aucun autre moyen. La maniabilité restant simple, on constate tout de même quelque correction point de vue déplacement. Mio ne calle plus autant sur des portes comme le premier. Mais on note toujours que les déplacements de cette dernière, même lorsqu’elle trottine, sont vraiment lents d’autant plus qu’elle relâche facilement le rythme. A moins que ce soit ma manette qui se fasse vieille :x Par contre, il a y a une chose qui n'a toujours pas changer, et qui est assez bien agaçant, c'est la lenteur dont font preuve les personnages à ouvrir les portes. C'est toujours mieux qu'un "Loading" mais ça reste relativement agaçant, puisque dans ce milieu, ça reste un peu flippant.
Quant aux combats, puisque je n’ai rien précisé à son sujet, ils se passent exactement comme le premier. Une fois en présence d’un spectre, il suffit de sortir l’arme avec l’aide du bouton rond et de cibler l’ennemi, les dégâts de la prise dépendant du cadrage. Les seules nouveautés sont les pouvoirs en plus que l’ont peut ajouter à l’appareil.
Musique
Le deux vaut le premier de par sa bande son irréprochable. Elle se marie parfaitement avec les bruitages du jeu, les cris de désespoir ou d’agonie des esprits ou encore les rires perçant de Sae. Le compositeur a su nous plonger dans cette ambiance morbide qu’est Project Zero, sans que l’on n'en éprouve une quelconque difficulté. Une merveille ! Sans oublié la chanson final chantée par Tsukiko Amano, tout simplement magnifique !
Graphismes
Il n’y a pas des masses de changement à noter. C’est exactement le même moteur. On peut juste remarquer une petite évolution lors des cinématiques. Ca fait beaucoup moins vieux film, c'est plus net mais c'est bien tout. Enfin, les graphismes du un étaient déjà très bien comme ça alors que lui reprocher ? De nombreuses cinématiques superbes, et de nombreuses images de synthèse de qualité. Un petit reproche ? Le peu de diversité d’ennemi. En l’espace de deux heures, vous avez de nombreuse chance de croiser dix fois minimum un prêtre impatient. De plus les fantômes ne sont pas des plus beaux, enfin en même temps on ne demandait pas vraiment à ce qu’il soit séduisant mais un rien plus effrayant au moins.
Project Zero II est un superbe jeu, pas trop dure, ni trop simple. Il possède avant tout des personnages très attachants qui nous donnent plus qu’envie de progresser dans l’aventure. On regrette les départs inopinés de Mayu et nous n’avons qu’une idée en tête, la retrouver ! L’angoisse est toujours aussi présente, avec un scénario assez attendrissant. Jouez-y vous comprendrez ! Un jeu à essayer au moins une fois dans sa vie, je vous assure, vous ne serez pas déçus !
Tout comme son premier volet, Project Zero II propose différent mode de jeu, passant du mode facile, moyen, difficile à cauchemar ou encore combats. Pour chaque mode finit, des bonus apparaissent : tantôt de nouveaux costumes, tantôt différentes fins. Bonne chance à celui qui s’y collera.