Katsuo est un lycéen petit, chétif, pervers et malchanceux. Un jour, son meilleur ami se fait agresser et par peur, il n’intervient pas. Plein de culpabilité, il demande à l’un de ses contacts internet, Toshio (qu’il a aidé à trouver une copine alors que notre héros est pourtant un vrai bleu) de l’aider à venger son ami.
Il s’avèrera que Katsuo est un bagarreur hors pair. Le problème, c’est que la boucle infernale commence pour le jeune homme, puisque s’en suivra une succession de combats contre les pires voyous de sa région à cause de sa réputation grandissante dans le milieu des gangs.
Il s’avèrera que Katsuo est un bagarreur hors pair. Le problème, c’est que la boucle infernale commence pour le jeune homme, puisque s’en suivra une succession de combats contre les pires voyous de sa région à cause de sa réputation grandissante dans le milieu des gangs.
Katsuo : Du look du lycéen modèle, petit et chétif, Katsuo en vient à se faire coiffer d’une banane afin d’avoir l’air d’un vrai dur. Le problème, c’est que Katsuo est une vraie poule mouillée.
Il est très résistant, possède un coup de pied dévastateur, et est un véritable pervers. Il se fera entraîner quasiment à chaque fois par de superbes jeunes filles.
Malgré sa trouille évidente, notre héros parviendra tout de même à faire face à ses adversaires. C’est tout de même un personnage assez déterminé et parfois... chanceux.
Il est très résistant, possède un coup de pied dévastateur, et est un véritable pervers. Il se fera entraîner quasiment à chaque fois par de superbes jeunes filles.
Malgré sa trouille évidente, notre héros parviendra tout de même à faire face à ses adversaires. C’est tout de même un personnage assez déterminé et parfois... chanceux.
Matsuki : Il fait partie tout comme Kastuo du fan club d’Hirose (ils se sont connus sur un site de fan).
C’est un jeune furyo au grand cœur qui apprendra à notre pauvre héros les rudiments de la baston. Les deux jeunes hommes garderont le contact par la suite.
Matsuki est redevable envers Katsuo qui l’a aidé à aborder son actuel petite amie.
C’est un jeune furyo au grand cœur qui apprendra à notre pauvre héros les rudiments de la baston. Les deux jeunes hommes garderont le contact par la suite.
Matsuki est redevable envers Katsuo qui l’a aidé à aborder son actuel petite amie.
Toshio : C’est le meilleur ami de Katsuo et celui qui, en même temps, poussera Katsuo à le venger, se morfondant de honte de ne pas avoir agi alors que celui-ci se faisait racketter.
On sait très peu de chose sur lui, si ce n’est que c’est quelqu’un d’apparence assez sympa.
On sait très peu de chose sur lui, si ce n’est que c’est quelqu’un d’apparence assez sympa.
Oga : C’est une petite frappe qui rackettera le meilleur ami de Katsuo, une racaille qui sera le 1er adversaire de Katsuo.
Il est le protégé de Fujishiro, un sempai plus grand, plus fort, plus méchant.
Il est le protégé de Fujishiro, un sempai plus grand, plus fort, plus méchant.
Ryusaki : Elle entraînera Katsuo durant une partie de l’histoire, et mettra littéralement en ébullition les hormones de notre héros.
C’est le genre de personnage tsundere de l’époque (comme Narusegawa de Love Hina par exemple), nous donnant une image à fleur de peau de jeune fille forte.
C’est le genre de personnage tsundere de l’époque (comme Narusegawa de Love Hina par exemple), nous donnant une image à fleur de peau de jeune fille forte.
Katsuo est un manga crée par le dessinateur de Noritaka, alors vu que le scénariste est le dessinateur lui-même, on est en droit de penser que l’on aura droit à quelque chose de différent...
Et bien pas du tout !! Katsuo est à la limite du vulgaire copier/coller. Effectivement, on retrouve un héros petit, moche, un tantinet pervers, et qui sous ses airs de faible et de lâche cache un bagarreur hors pair !
Mais le pire dans tout ça, c’est que Katsuo possède en plus du même personnage principal (ou quasiment) une trame scénaristique identique à celle de Noritaka !
Effectivement, notre jeune héros évolue cette fois-ci dans le milieu des jeunes yankees et autre furyo japonais, et va devoir à chaque fois se confronter à un adversaire plus fort que le précédent.
Néanmoins, n’étant qu’en 10 volumes, on peut considérer la série comme une sorte de concentré de Noritaka.
Les entraînements de Katsuo sont aussi loufoques que ceux de Noritaka, l’humour est assez similaire lui aussi. Le trait est parfois moche mais c’est pour faire ressortir l’aspect comique du manga, car Katsuo s’inscrit dans la lignée des mangas humour, baston et petites culottes, le manga avançant entre les fantasmes de Katsuo sur les filles qui l’entraîneront ou qu’il devra protéger, ses différents adversaires, et l’humour pour l’entraînement principalement.
Loin d’être dénué de qualité, Katsuo n’est pourtant pas un indispensable pour les anciens lecteurs de Noritaka. Il reste cependant très drôle, et 10 tomes, ça passe tout de même vite.
En ce qui concerne le trait, l’agencement des cases dans les planches et les trames, il n’y a pas d’évolution. On retrouve un trait quasi similaire à celui de Noritaka. On note cependant que Katsuo fait parfois des tronches absolument poilantes (il a un visage parfois déformé à l’extrême).
Et bien pas du tout !! Katsuo est à la limite du vulgaire copier/coller. Effectivement, on retrouve un héros petit, moche, un tantinet pervers, et qui sous ses airs de faible et de lâche cache un bagarreur hors pair !
Mais le pire dans tout ça, c’est que Katsuo possède en plus du même personnage principal (ou quasiment) une trame scénaristique identique à celle de Noritaka !
Effectivement, notre jeune héros évolue cette fois-ci dans le milieu des jeunes yankees et autre furyo japonais, et va devoir à chaque fois se confronter à un adversaire plus fort que le précédent.
Néanmoins, n’étant qu’en 10 volumes, on peut considérer la série comme une sorte de concentré de Noritaka.
Les entraînements de Katsuo sont aussi loufoques que ceux de Noritaka, l’humour est assez similaire lui aussi. Le trait est parfois moche mais c’est pour faire ressortir l’aspect comique du manga, car Katsuo s’inscrit dans la lignée des mangas humour, baston et petites culottes, le manga avançant entre les fantasmes de Katsuo sur les filles qui l’entraîneront ou qu’il devra protéger, ses différents adversaires, et l’humour pour l’entraînement principalement.
Loin d’être dénué de qualité, Katsuo n’est pourtant pas un indispensable pour les anciens lecteurs de Noritaka. Il reste cependant très drôle, et 10 tomes, ça passe tout de même vite.
En ce qui concerne le trait, l’agencement des cases dans les planches et les trames, il n’y a pas d’évolution. On retrouve un trait quasi similaire à celui de Noritaka. On note cependant que Katsuo fait parfois des tronches absolument poilantes (il a un visage parfois déformé à l’extrême).
On serait tenté de qualifier Katsuo de plagiat, et ça ne serait pas totalement faux.
Cependant les fan de Noritaka y retrouveront ce qui a fait le succès de la série, un humour déjanté et de la baston pas mal rendue. Ne vous attendez donc pas à un renouveau extraordinaire, ça se lit vite, c’est sympa, mais ça n’apportera rien de plus à votre culture manga.
Cependant les fan de Noritaka y retrouveront ce qui a fait le succès de la série, un humour déjanté et de la baston pas mal rendue. Ne vous attendez donc pas à un renouveau extraordinaire, ça se lit vite, c’est sympa, mais ça n’apportera rien de plus à votre culture manga.
Pour plus d’informations sur Noritaka et comprendre l’étendue de la comparaison, je peux que vous conseiller la lecture de l’article sur Noritaka, écrit par votre serviteur.