Candy est une jeune orpheline vivant paisiblement à la fin du 19ème siècle aux États-Unis. Sa meilleure amie Annie avec qui elle a grandit depuis sa naissance, se fait adopter avant elle. Voilà donc nos deux inséparables éloignées l'une de l'autre. Annie finit par ne plus donner de nouvelles à notre chère petite tête blonde… La jeune enfant va alors pleurer toutes les larmes de son corps sur "la colline de Pony" qui surplombe l’orphelinat. C’est là qu’elle rencontrera son « Prince des Collines »…
Candy Neige André : Une enfant pleine de vie qui conservera son côté espiègle même à l’âge adulte, sa spontanéité lui jouera parfois des tours ! Elle sera très attristée par l’adoption de sa meilleure amie et par sa lettre d’adieu… Elle se fera plus tard recueillir par la famille Legrand en tant que fille de compagnie de leurs enfants qui la martyriseront. Elle se liera cependant d’amitié avec les cousins Legrand: Anthony et les deux frères Cornwell.
Monsieur Albert : Jeune vagabond, il squatte l’une des propriétés de la famille André. Il a beaucoup d’affection pour Candy qu’il soutiendra dans les moments clefs de l’histoire. C’est un homme détestant les mondanités du monde bourgeois et qui préfère vivre en harmonie avec la nature.
Anthony Brown : Il ressemble énormément au Prince des Collines bien que son trop jeune âge fasse qu’il soit impossible que ce soit lui. Il est amoureux de Candy et la défendra contre ses cousins. Il a une passion pour la culture des roses et adore l’équitation. C’est le cousin d’Alistair, Archibald, Daniel et Eliza, ces deux derniers étant les enfants Legrand.
Alistair Cornwell : Amoureux de Candy, Alistair est un inventeur aux inventions souvent vouées à l’échec, ce qui amuse ses cousins et Candy. Il rêve de pouvoir construire un avion de ses propres mains et prend la défense de Candy face à sa famille. Il est le cousin d’Anthony, Daniel et Eliza et le frère d'Archibald.
Archibald Cornwell : Tombé sous le charme de cette chère tête blonde (jamais deux sans trois hein!), il redoute les inventions de son grand frère… Un peu lunatique, il reste cependant la tête pensante du groupe. Il est le cousin d’ d’Anthony, Daniel et Eliza.
Daniel et Eliza Legrand : Bien décidés à faire de la vie de Candy un véritable enfer, les deux enfants se liguent contre elle dès le départ. Ils auront cependant bien du mal à parvenir à leurs fins à cause du côté rebelle de Candy et de le présence de leurs cousins prêts à tout pour la soutenir.
Quand on connaît l’histoire de Candy, on ne comprend pas pourquoi Rémi sans famille se plaint d’avoir été vendu à Vitalis. On finit par trouver que princesse Sarah est bien effrontée de broyer du noir à cause de son quotidien et que le chien des Flandres, bah ce n'est qu’un chien.
Candy Candy véhicule à tort une image de shôjo classique full beaux gosses à l’histoire insipide et aux dessins caricaturaux. Si la dernière caractéristique ne peut lui être reprochée (gros yeux et the flower power pour trame) après tout c’est une question de génération et d'époque, on aurait tort de penser que ce manga est un titre réservé à la gente féminine uniquement.
Alors oui messieurs, CC contient son lot de jeunes éphèbes qui ne songent qu’à conquérir le cœur de la jeune fille. Oui, la série est très romancée. Mais elle est aussi dramatique et déprimante. La vie de Candy, c’est un peu comme un monde où chaque recoin de la terre serait jonché de punaises de 5 cm et où l’on n’aurait pas créé les chaussures. Il pleuvrait du sang tous les jours et vous auriez une chance sur deux de rentrer chez vous parce que les dinosaures existeraient encore.
Candy c’est un peu la VDM du manga. Le peu d’amour qu’elle reçoit, on le lui arrache tout de suite. Mais Candy n’abandonne pas, non jamais ! D’une part parce qu’elle se doit de jouer l’héroïne tragique qui surmonte son chagrin (puis elle doit être un peu maso), d’autre part parce qu’elle croit en l’avenir, elle espère un monde meilleur, c’est une optimiste, une battante notre Candy.
L’histoire se déroule à la fin du 19ème siècle puis durant le début du 20ème siècle, ce qui permet aux auteurs d’avoir en toile de fond un contexte historique intéressant. Après les nombreux malheurs que notre jeune pousse aura surmontée, Yumiko Igarashi et Kyoko Mizuki décident d’enfoncer le clou et de lui faire connaître l’horreur de la guerre. C’est ainsi que vit le jour le spin-off des films Rambo : Candy’s War. C’est une blague, c’était pour voir si vous suiviez.
Les 4/5 premiers tomes de la série font à mes yeux office de prologue pour laisser place à un déroulement plus attrayant avec la première guerre mondiale. Candy souffrira principalement de son amour pour… oups, n’en disons pas plus… Bref, même si le début de la série connaît un drame qui plombe déjà pas mal l’ambiance, la 1ère GM rajoute de la noirceur au récit et ça ne lui fait que du bien.
Je ne m’étalerai pas sur le milieu de la Bourgeoisie dans l’œuvre, vu que l’on nous décrit quelque chose d’assez vu et revu (enfants gâtés, mère injuste, un sauveur inattendu dans la famille, ect…).
Candy Candy véhicule à tort une image de shôjo classique full beaux gosses à l’histoire insipide et aux dessins caricaturaux. Si la dernière caractéristique ne peut lui être reprochée (gros yeux et the flower power pour trame) après tout c’est une question de génération et d'époque, on aurait tort de penser que ce manga est un titre réservé à la gente féminine uniquement.
Alors oui messieurs, CC contient son lot de jeunes éphèbes qui ne songent qu’à conquérir le cœur de la jeune fille. Oui, la série est très romancée. Mais elle est aussi dramatique et déprimante. La vie de Candy, c’est un peu comme un monde où chaque recoin de la terre serait jonché de punaises de 5 cm et où l’on n’aurait pas créé les chaussures. Il pleuvrait du sang tous les jours et vous auriez une chance sur deux de rentrer chez vous parce que les dinosaures existeraient encore.
Candy c’est un peu la VDM du manga. Le peu d’amour qu’elle reçoit, on le lui arrache tout de suite. Mais Candy n’abandonne pas, non jamais ! D’une part parce qu’elle se doit de jouer l’héroïne tragique qui surmonte son chagrin (puis elle doit être un peu maso), d’autre part parce qu’elle croit en l’avenir, elle espère un monde meilleur, c’est une optimiste, une battante notre Candy.
L’histoire se déroule à la fin du 19ème siècle puis durant le début du 20ème siècle, ce qui permet aux auteurs d’avoir en toile de fond un contexte historique intéressant. Après les nombreux malheurs que notre jeune pousse aura surmontée, Yumiko Igarashi et Kyoko Mizuki décident d’enfoncer le clou et de lui faire connaître l’horreur de la guerre. C’est ainsi que vit le jour le spin-off des films Rambo : Candy’s War. C’est une blague, c’était pour voir si vous suiviez.
Les 4/5 premiers tomes de la série font à mes yeux office de prologue pour laisser place à un déroulement plus attrayant avec la première guerre mondiale. Candy souffrira principalement de son amour pour… oups, n’en disons pas plus… Bref, même si le début de la série connaît un drame qui plombe déjà pas mal l’ambiance, la 1ère GM rajoute de la noirceur au récit et ça ne lui fait que du bien.
Je ne m’étalerai pas sur le milieu de la Bourgeoisie dans l’œuvre, vu que l’on nous décrit quelque chose d’assez vu et revu (enfants gâtés, mère injuste, un sauveur inattendu dans la famille, ect…).
CC est un classique du genre Shôjo, c’est incontestable. On lui colle bien trop souvent une image guillerette alors qu’il n’en est rien : CC est un drame familial, sentimental, social… Un drame humain, une dépression en pages qui mérite toute votre attention. Je vous l’assure, Candy qui rigole comme une insouciante, c’est juste le chapitre 1. Après c’est promis, elle est heureuse au compte-goutte.