Ayako : C’est l’assistante du club de basket dont Miyagi est fou amoureux.
Elle s’occupe des soins entre autre.
Elle s’occupe des soins entre autre.
M. Anzai : Entraîneur de l’équipe de Shohoku, Anzaï ressemble quasiment trait pour trait au bonhomme du fast food de KFC.
Mais sous ce physique rond et impassible se cache un entraîneur aux tactiques aiguisées et à l’intelligence redoutable ! Il fait preuve de beaucoup d’indulgence et de patience envers Sakuragi, bien qu’il puisse dégager une certaine autorité par moment.
Mais sous ce physique rond et impassible se cache un entraîneur aux tactiques aiguisées et à l’intelligence redoutable ! Il fait preuve de beaucoup d’indulgence et de patience envers Sakuragi, bien qu’il puisse dégager une certaine autorité par moment.
Takehiko Inoue est le disciple de Tsukasa Hôjo, et ça se voit.
L’auteur de Vagabond nous livre un manga ayant pour thème central le basket, et le JUMP voit alors publié dans ses pages l’un des mangas les plus réalistes qui existe sur le monde du Basket Ball. Ici, pas de techniques poussives à la Captain Tsubasa ou d’humour burlesque comme dans Eyesheild 21, Slam Dunk est un manga crée et réalisé par un passionné de Basket.
Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’on le ressent. L’auteur de Vagabond nous offre des planches tout simplement superbe, qui s’admire.
L’histoire se déroule sur une durée de 3 mois réparti sur 31 volumes, mais demeure au combien passionnante. Ça n’est pas l’histoire, somme toute banal (une conquête du titre national) que Slam Dunk se démarque, mais par son côté réaliste.
Les matches sont terriblement bien représentés, et les personnages suent à grande goutte. Le cheminement de Sakuragi ne se fait pas sans mal malgré son talent évident, et l’on reste surpris par la fin de Slam Dunk, qui prouve une nouvelle fois à quel point l’auteur est resté terre à terre vis-à-vis de son manga. Par ailleurs tout le monde semble attendre un éventuel Slam Dunk 2....
Les personnages sont incroyablement attachant, et pourtant à bien y regarder on ne connaît pas spécialement plus de choses que ça sur le passé de nos héros, si ce n’est quelques bribes qui sont parsemées de par le manga. Là où on sait dans Naruto pourquoi notre héros à tête blonde s’est mis en tête de devenir Hokage et pourquoi Sasuke veut se venger, on ignore ici totalement pourquoi la plupart des éléments du 5 majeur se sont mis au basket. Peut-être est ce fait exprès, encore une fois, pour nous plonger encore mieux dans l’œuvre ?
Mais le fait est que Slam Dunk est un manga absolument indispensable, à partir du moment où l’on aime les mangas sportifs, s’il y’en a bien un qu’il faut lire, c’est celui-ci.
Sakuragi doit constamment faire face à la réalité et se rendre compte parfois qu’il n’est pas le génie qu’il croit être, Mitsui finit rarement un match debout à cause de son absence de deux années sur les terrains...Alors même si les matches peuvent tout de même paraître tiré par les cheveux(et j’entends par là que les matches se perdent et ne se gagnent qu’à un fil grâce à des remontées ou descentes dans le score), l’auteur se défend en précisant que beaucoup de matches de basket sont assez serré. Mais les rebondissements sont un point fort de ce manga, qui sait nous tenir en haleine jusqu'au bout.
J'attribue une mention spéciale aux personnages de Rukawa et Sakuragi qui nous livre l’un des moments les plus fort du manga au tome 31. Mais soyez rassuré, des moments forts il y'en a quasiment à chaque tome.
En revanche ne vous attendez pas à une histoire d'amour dans Slam Dunk, même si les 1ers tomes laissent sous-entendre un quelconque développement d'une intrigue amoureuse, il n'en sera rien, on est là pour lire du sport, du vrai avant tout.
L’auteur de Vagabond nous livre un manga ayant pour thème central le basket, et le JUMP voit alors publié dans ses pages l’un des mangas les plus réalistes qui existe sur le monde du Basket Ball. Ici, pas de techniques poussives à la Captain Tsubasa ou d’humour burlesque comme dans Eyesheild 21, Slam Dunk est un manga crée et réalisé par un passionné de Basket.
Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’on le ressent. L’auteur de Vagabond nous offre des planches tout simplement superbe, qui s’admire.
L’histoire se déroule sur une durée de 3 mois réparti sur 31 volumes, mais demeure au combien passionnante. Ça n’est pas l’histoire, somme toute banal (une conquête du titre national) que Slam Dunk se démarque, mais par son côté réaliste.
Les matches sont terriblement bien représentés, et les personnages suent à grande goutte. Le cheminement de Sakuragi ne se fait pas sans mal malgré son talent évident, et l’on reste surpris par la fin de Slam Dunk, qui prouve une nouvelle fois à quel point l’auteur est resté terre à terre vis-à-vis de son manga. Par ailleurs tout le monde semble attendre un éventuel Slam Dunk 2....
Les personnages sont incroyablement attachant, et pourtant à bien y regarder on ne connaît pas spécialement plus de choses que ça sur le passé de nos héros, si ce n’est quelques bribes qui sont parsemées de par le manga. Là où on sait dans Naruto pourquoi notre héros à tête blonde s’est mis en tête de devenir Hokage et pourquoi Sasuke veut se venger, on ignore ici totalement pourquoi la plupart des éléments du 5 majeur se sont mis au basket. Peut-être est ce fait exprès, encore une fois, pour nous plonger encore mieux dans l’œuvre ?
Mais le fait est que Slam Dunk est un manga absolument indispensable, à partir du moment où l’on aime les mangas sportifs, s’il y’en a bien un qu’il faut lire, c’est celui-ci.
Sakuragi doit constamment faire face à la réalité et se rendre compte parfois qu’il n’est pas le génie qu’il croit être, Mitsui finit rarement un match debout à cause de son absence de deux années sur les terrains...Alors même si les matches peuvent tout de même paraître tiré par les cheveux(et j’entends par là que les matches se perdent et ne se gagnent qu’à un fil grâce à des remontées ou descentes dans le score), l’auteur se défend en précisant que beaucoup de matches de basket sont assez serré. Mais les rebondissements sont un point fort de ce manga, qui sait nous tenir en haleine jusqu'au bout.
J'attribue une mention spéciale aux personnages de Rukawa et Sakuragi qui nous livre l’un des moments les plus fort du manga au tome 31. Mais soyez rassuré, des moments forts il y'en a quasiment à chaque tome.
En revanche ne vous attendez pas à une histoire d'amour dans Slam Dunk, même si les 1ers tomes laissent sous-entendre un quelconque développement d'une intrigue amoureuse, il n'en sera rien, on est là pour lire du sport, du vrai avant tout.
Slam Dunk réunit avec brio humour, réalisme, sport, et parfois les déceptions que l’on peut rencontrer à travers le sport, la défaite, la perte de confiance en soi, mais aussi ses valeurs les plus fortes, une solidarité et une soif de vaincre pour atteindre la victoire. Des ingrédients là pour plaire , mais l'œuvre se démarque de la plupart des shônens de part son côté très terre à terre.
Sa fin, à mon sens l’une des meilleurs que j’ai jamais lus, vous laissera quelques temps plus ou moins sous le choc, car loin de nous donner une fin heureuse, on a droit à une fin plutôt pleine d’espoir.
A lire absolument avant d’aller marquer quelques paniers.
Sa fin, à mon sens l’une des meilleurs que j’ai jamais lus, vous laissera quelques temps plus ou moins sous le choc, car loin de nous donner une fin heureuse, on a droit à une fin plutôt pleine d’espoir.
A lire absolument avant d’aller marquer quelques paniers.